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Bruits de souris dans les murs ? Surtout, n’attendez pas.


Souris grise creuse un trou dans un carton

Il fait nuit, tout est calme. Les petits bruits de la maison se font entendre : elle craque, elle grince, elle respire, elle vit. Rien d’anormal. Puis soudain, des sons nouveaux, inconnus, se font entendre : ça gratte légèrement, ça cavalcade de manière désordonnée, les murs semblent murmurer, et parfois même, ils couinent. Pas de doute, vous n’êtes plus le seul chez vous. Vous avez sans doute des souris, ou des rats, en guise de colocataires.


Les ennuis commencent…


Pourquoi s’inquiéter de la présence de souris dans la maison ?

Souris grise, athlète de haut niveau

Les signes d’une invasion de rongeurs sont nombreux, bien que souvent minimisés. Et pourtant, tous propriétaires ayant connu le problème d’infestation de souris vous le diront : on les entend avant de les voir, et si on les voit, c’est trop tard.


Les souris grises sont agiles, petites, voraces, et fécondes. Autant de qualificatifs qui font d’elles un fléau des maisons individuelles comme des immeubles d’habitation.


Prenons adjectif par adjectif :


  • Agiles : aucune surface ne les effraie. Elles sont capables de grimper 2 mètres de surface verticale sans se fatiguer et de sauter 30 centimètres en hauteur pour environ 1 mètre en longueur. Dans ces conditions, peu de zones leur sont inaccessibles.

  • Petites : la souris grise adulte est capable d’exploiter des ouvertures de 6 mm seulement (à noter, une pièce de 1 centime d’euros possède un « gigantesque » diamètre de 16 mm). Imaginer avoir calfeutré l’intégralité de son domicile est, au mieux, illusoire.

  • Voraces : curieuses bien qu’exigeantes dans leur alimentation, les souris mangent peu, mais goûtent beaucoup. Comme tous les rongeurs, leurs dents poussent en continu, d’où le besoin de ronger pour les user. Dans ces conditions, tout y passe, des aliments aux matériaux de construction et d’isolation, les destructions sont disproportionnées par rapport à leur (petite) taille, les constructions n’en sortent que rarement indemnes.

  • Fécondes : 5 à 10 portées par an, 6 à 12 souriceaux par portée, 20 jours de gestation et une maturité sexuelle à partir de sa sixième semaine. Remettre toute action « à la semaine prochaine » revient à troquer un simple duel contre une bataille rangée.

Leur installation étant progressive, les nuisances exponentielles selon le nombre d’individus, il est facile de se faire déborder.


Sans tomber dans la paranoïa, il est préférable d’être vigilant.





Souris dans les murs : les risques


Un nid de souris grise fait avec de la laine d'isolation

Avoir des souris chez soi représente des risques pour l’habitation en elle-même et aussi pour la santé de ses occupants.


Souris : risques structurels pour les habitations

Perte d’isolation :

Les souris sont nidicoles et ont besoin de place et de matériaux pour réaliser leur nid. Dans les cloisons, elles vont chercher des espaces secs ou n’hésitent pas à le créer. Elles prélèvent ou dégagent tous matériaux d’isolation qui peuvent leur être utiles ou les déranger. Ce faisant, elles laissent des failles dans l’isolation globale de votre habitation.


Failles structurelles et dégradations :

Leurs incisives poussant en continu, elles ne rechignent pas à s’attaquer au placo, ciment et autres matériaux durs. Penser pouvoir boucher un trou de souris avec du plâtre est une gageure, elles le passeront aussi facilement que du papier. Ces failles ajoutées affaiblissent la structure même du bâtiment et sont autant de portes d’entrée pour d’autres envahisseurs (sans parler des courants d’air).


Incendie, dégât des eaux, inondation, effondrement…

Dans la cuisine se trouvent souvent toutes sources de nourriture et les appareils électroménagers qui les conservent ou qui les utilisent. Dans les cloisons et sous les planchers passent souvent les installations électriques et plomberies. Pour des animaux qui aiment grignoter les fils et les tuyaux, les tentations ne manquent pas…


Quand on sait qu’un court-circuit peut provoquer un incendie ou que d’une fuite d’eau peut résulter des effondrements… Il n’y a pas de désagréments qu’une souris ne saura transformer en catastrophe.


Le plus insidieux dans tout ça, c’est que vivant dans des lieux difficiles d’accès, vous aurez du mal à identifier puis à effectuer les réparations nécessaires aux dégâts causés par les souris.


Souris : risques sanitaires et psychologiques

Transmission de maladies :

On les connaît depuis la nuit des temps pour ce fait : les souris, comme les rats, sont des vecteurs de maladies qui peuvent être fatales aux êtres humains. Les souris urinent et défèquent en abondance, mais ne se lavent que rarement les pattes avant de passer à table. Les souris ayant une fâcheuse tendance à « goûter » tout ce qui leur passe à portée d’incisives, la contamination est certaine. En souillant leur environnement, elles peuvent amener peste, leptospirose, salmonellose, tuberculose, toxoplasmose, fièvre, typhus, gastro-entérite, rage ou maladie de Weill dans votre habitat. On pourrait croire que ce sont là des maladies du moyen-âge, mais il n’en est rien : elles tuent encore de nos jours dans nos villes et campagnes, particulièrement les plus fragiles.


Insalubrité et risques sanitaires :

Encore une fois, les souris vivant dans des lieux difficiles d’accès, vous aurez du mal à nettoyer derrière elles. Leurs immondices, déjections et cadavres (eh oui, les souris meurent aussi de vieillesse) risquent de s’amonceler dans vos murs et planchers rendant progressivement votre logement insalubre.


Angoisses, névroses, paniques et phobies :

Question santé mentale, les souris grises ont cette incroyable propension à scier les nerfs de leurs colocataires humains.

  • Perdre le sommeil à cause des grattements dans les murs.

  • Perdre l’appétit après avoir trouvé des grottes dans le placard où vous rangez vos gâteaux « plaisir coupable ».

  • Perdre son calme quand un sourit vous file dans les jambes, ou pire, vous saute dessus pendant votre sommeil.

  • Perdre toute sérénité dans l’attente du prochain signe que peuvent émettre ces rongeurs indésirables

Vivre dans la crainte et la tension n’est pas le meilleur environnement pour mener une vie saine et reposante. Les souris s’assureront que vous n’y parveniez en aucun cas.


Souris dans les murs : que faire ?


Une souris dans la cuisine

Commençons par préciser que les souris entrent chez les humains parce qu’elles y sont en sécurité et parce qu’il y a à manger.


Il y a peu de prédateurs dans vos intérieurs (pas de serpent, de renard, de belette, d’oiseaux de proie…), à la limite un chat ou un chien, mais suffisamment bien nourris pour que la chasse soit un jeu et non une nécessité, donc question efficacité, on repassera. De plus, les maisons foisonnent de coins protégés et difficilement accessibles pour les prédateurs (et les humains).

Nos habitats regorgent de sources de nourriture pour les rongeurs que notre hygiène rend plus ou moins accessibles. La première ligne de défense contre une invasion de rongeurs reste la propreté. Des réserves bien fermées, pas de miettes en abondance et des poubelles isolées limitent la quantité de nourriture disponible, et donc « l’habitabilité » des lieux pour les souris.


Les vieilles maisons qui ont connu plusieurs générations de locataires, officiels et non officiels, sont plus enclines à avoir été aménagées. Des failles anciennes non colmatées sont autant d’invitations à une nouvelle invasion. Un entretien régulier des extérieurs permet d’activer la vigilance et d’opérer les réparations nécessaires.


Mais là, nous ne parlons que prévention. Que faire quand l’invasion est constatée ?

Quitte à briser l’ambiance, voici la meilleure réponse que l’on peut vous faire :


Problème de souris ? Voici le meilleur conseil qu’on vous donnera aujourd’hui : oubliez le « do it yourself », faites appel à un dératiseur.

Si vous cherchez du DIY, internet en est rempli. Si les solutions sont efficaces ? Certaines le sont, mais aucune n’est définitive. La plupart des poisons et pièges grand public sont limités, pour des raisons de sécurité. Ils suffisent à bloquer un individu isolé ou un petit groupe en phase d’installation, mais pas bien plus. Mal utilisés, ils peuvent s’avérer nocifs pour d’autres animaux sauvages, vos animaux de compagnie et même vos jeunes enfants.


En "automédication" la dépense moyenne en pièges et poisons divers et variés avoisine les 50€. Leur installation et maintenance est contraignante, pour un traitement souvent superficiel à renouveler régulièrement (on repasse à la caisse). Faire appel à un dératiseur professionnel coûte en moyenne 200€ pour des résultats en profondeurs et garantis.

S’attaquer aux souris qui pointent le bout de leur museau n’est qu’une solution de court terme. Identifier les raisons qui permettent leur prolifération puis trouver les nids et les détruire est le véritable enjeu. La vraie difficulté vient de la connaissance des comportements des souris et de l’accessibilité des zones infestées.


Seul un professionnel aura les connaissances, l’agrément permettant l’utilisation de produits biocides puissants à usage réglementé et le matériel adapté aux opérations en profondeur.


Seul un dératiseur professionnel pourra vous libérer définitivement des souris.



Agissons Frelons 78 : dératiseur responsable dans les Yvelines

Spécialiste des nuisibles, nous mettons un point d’honneur à n’utiliser que des méthodes à la fois efficaces, non cruelles, et respectueuses de l’environnement.


Empoissonner tout ce qui vit dans et autour de chez vous (à commencer par vos animaux de compagnie et ceux des voisins) pour se débarrasser de souris, est aussi extrême que de brûler la maison pour y parvenir. Générer un amoncellement de cadavres de souris en putréfaction dans vos murs — ce qui ne manquera pas d’entacher la salubrité des lieux — n’est clairement pas une solution viable non plus. Laisser agoniser et couiner un rongeur des heures dans un piège pourrait vous scier les nerfs bien plus efficacement qui si celui-ci venait à vous filer dans les jambes.


Notre quête d’efficacité ne doit pas nous faire perdre toute raison : se débarrasser de vivants, fussent-ils nuisibles, a des conséquences qu’il faut peser, anticiper et accompagner.


C’est là que nous apportons notre savoir-faire : nos actions de dératisation sont garanties promptes, sans retombées délétères, durables et sans cruauté excessive.


Un problème de nuisible à la frontière entre les Yvelines et le Val-d’Oise ?

Agissons Frelons est votre dératiseur agréé Certibiocide.



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